FORÊT

2019

FORÊT, performance concrète, révèle les stigmates des corps enracinés à la nature sauvage s’engageant avec fougue dans l’exploration de l’immédiateté de l’être, et renvoyant au lieu où tout a commencé, à la source. Entre abandon et exaltation, se met alors en place le mouvement intime, ce battement primaire, presque animal, qui précède la pensée. L’immanence de l’être dans sa plus grande fragilité et son naturel le plus authentique, devient à ce moment précis réalité de par son existence, son explication, sa valeur.

FORÊT, concrete performance, unveils the stigmas of bodies rooted to wild nature, undertaking with ardor to explore the immediacy of the being, and sending back to where it all begun, to the origin. Between abandon and exaltation, then begins the intimate movement, this primal beat, almost animal, that precedes thought. The immanence of the being in its greatest fragility and its most authentic natural, at this very precise moment becomes reality through its existence, its explanation, its value.

Concepteur, directeur artistique, performeur et costumes Élian Mata

Performeur.euse.s et collaborateur.rice.s à la création Jacqueline van de Geer, Matéo Chauchat, Marianne Gignac-Girard, Jean-Philippe Ung, Naïla Rabel

Conseillère artistique Jessica Serli

Concepteur d’éclairage Hugo Dalphond

Musique originale O’XL

La création de FORÊT a bénéficié d’une résidence à la Maison de la culture Marie-Uguay, membre du réseau Accès culture, partenaire de Tangente, ainsi qu’au Stable de Dana Gingras et à Louise Lapierre Danse.

Photo’s: David Wong

extraits de presse:

Forêt est forte en images … comme un regard contemplatif sur un vivarium humain … du nu à l’habillé, du seul à l’ensemble, du rampant aux gestes, un tracé de l’évolution humaine » Catherine Lalonde. LE DEVOIR.

Forêt … six interprètes qui ont des corps vraiment différents, ça c’est vraiment cool … … moi j’ai adoré l’expérience … La nudité en danse prend une signification différente dans ce contexte. Ça induit un rapport d’horizontalité entre le public et les interprètes. » Stéphanie Dufresnes. ON DIRA CE QU’ON VOUDRA, ICI Première, Radio-Canada.