Où est Marguerite-Ida?
2010
        Inspiré par le quartier Centre-Sud de Montréal, le parcours Dédale et fiction du rendez-vous d’art interdisciplinaire annuel, L’Écho d’un fleuve, explore une nouvelle approche du parcours artistique sous forme de fiction urbaine. Dirigé par Catherine Lalonde (assistée de Nicolas Rochette et Élise Hardy), ce dernier rassemble plusieurs artistes dans une même trajectoire pour explorer les différentes résonnances du thème Dédale et Fiction. Cette création interdisciplinaire, orientée autour de la quête d’un personnage disparu depuis les années 30, dans le quartier Centre-Sud, a pour but de mener le spectateur le long d’un trajet artistique qui infiltre à la fois l’espace public et l’espace privé. Cadavre exquis urbain, ce parcours prend forme à travers les projets suivants : *Chevreuil (Geneviève L. Blais en collaboration avec l’auteur Catherine Léger) : une expérience de théâtre in situ sur fond d’asphalte et de garnote. / Interprètes : Marie-Ève Huot, Jean-Moïse Martin, Estelle Richard. *30 Screen test (Steve Giasson) : présentant des «portraits-vidéos» de Montréalais du quartier diffusés dans certaines fenêtres d’appartements et sur d’autres façades du parcours. Cité-Myst (Nicolas Rochette) : un projet d’infiltration de la parole contée qui, au centre d’un parcours fictif, ouvre les portes du « realy real » / Conteurs : Nicolas Rochette, Raynald Barbarie, Céline Jantet, André Morin. Az-zahr et I-déation (Élise Hardy) : une proposition chorégraphique qui met en relief les anomalies de nos comportements urbains et les dédales inusités de nos lieux de vie / Interprètes : Monica Coquoz, Vincent Dray, Chantal Hausler, Catherine Larocque, Léna Massiani, Katya Montaignac, Anouk Thériault, Mary Williamson. Anomalies Synthétiques (Catherine Lalonde) : alliage de faits historiques, légendes et poésie du territoire, il s’agit de la dernière phase de cette création qui prend corps dans l’espace urbain depuis le 1er avril par le biais d’infiltrations artistiques dans le quartier Centre-Sud. Cette finale présente des tableaux vivants, des installations et un cabaret-téléréalité qui font revivre le grand mythe oublié… celui qui était autrefois au coeur de l’imaginaire de tout un quartier. jeudi 10, vendredi 11 et samedi 12 juin 2010 à 20h
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